ÉPISODE DE POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE : RECONDUIT JUSQU’AU SAMEDI 11 FÉVRIER



• Pour les émetteurs industriels, s’assurer du bon fonctionnement des dispositifs de dépoussiérage.
• Recourir à des enfouissements rapides des effluents.
• Reporter les travaux du sol si celui-ci est sec.
• Décaler dans le temps les épandages de fertilisants minéraux ou organiques et dans le cas où leur report n’est pas possible, recourir préférentiellement à des procédés d’épandage faiblement émetteurs d’ammoniac.
• Maîtriser la température dans les bâtiments en limitant l’utilisation du chauffage.
• Éviter l’utilisation du bois en chauffage individuel d’agrément ou d’appoint, qui contribue très fortement à l’émission de PM10.
• Suspendre les éventuelles autorisations dérogatoires à l’interdiction de brûlage de déchets verts (y compris les déchets agricoles) à l’air libre.
• Réduire le fonctionnement des installations fixes dont les émissions contribuent à l’épisode de pollution.

• Réduire la vitesse sur l’ensemble de la région Ile-de-France :
– à 110 km/h sur les portions d’autoroutes normalement limitées à 130 km/h.
– à 90 km/h sur les portions d’autoroutes et de voies rapides normalement limitées à 110 km/h.
– à 70 km/h sur les portions d’autoroutes, de voies rapides normalement limitées à 90 km/h ainsi que sur les routes nationales et départementales limitées à 80 km/h ou à 90 km/h.
• Contourner l’agglomération francilienne en empruntant les axes routiers pour les véhicules en transit dont le poids total en charge excède 3,5 T.

• Suspension des dérogations de brûlage à l’air libre des déchets verts.
• Pour le secteur industriel, certaines installations classées pour la protection de l’environnement font l’objet de prescriptions particulières en cas de déclenchement de la procédure d’alerte pollution, précisées dans leurs arrêtés d’autorisation.

• En cas de gêne respiratoire ou cardiaque, prenez conseil auprès d’un professionnel de santé.
• Privilégiez des sorties plus brèves et celles qui demandent le moins d’effort.
• Prenez conseil auprès de votre médecin pour savoir si votre traitement médical doit être adapté le cas échéant.
• Évitez les zones à fort trafic routier, aux périodes de pointe.
• Privilégiez les activités modérées.