Informations pour la santé

Santé prévention

Informations santé : prévention

Découvrez quelques-uns des principaux risques et la manière de les prévenir.

Nutrition : « Manger, bouger ! »

Mieux manger et bouger plus pour conserver sa santé. Saint-Prix a signé la charte Ville Active du Programme National Nutrition Santé (PNNS).

En savoir plus :

http://www.mangerbouger.fr/PNNS

Plan canicule

Comment passer l’été en toute sécurité ?

Voici quelques conseils santé pour prévenir les risques en cas de canicule :

  • Dans le cadre d’un traitement médical en cours, contactez votre médecin traitant afin qu’il vous donne les conseils nécessaires,
  • Procurez-vous un ventilateur, un rafraîchisseur d’air ou un climatiseur, un brumisateur, une vessie à glace pour vous rafraîchir. Ou à défaut, utilisez un gant de toilette.
  • Repérez les endroits climatisés proches de chez vous (magasins, lieux publics, foyers, maisons de retraite…).
  • Manifestez-vous auprès de vos voisins, votre gardien d’immeuble ou des services de la mairie si vous vivez seul.

 

En cas de fortes chaleurs :

  • Restez attentif(ve) à la météo et aux conseils donnés dans les médias.
  • Humidifiez votre peau plusieurs fois par jour.
  • Évitez de sortir aux heures les plus chaudes : milieu de matinée et le début de l’après-midi, marchez à l’ombre, habillez-vous légèrement, avec des couleurs claires et des vêtements en coton, mettez un chapeau et emportez une bouteille d’eau.
  • Maintenez votre logement à l’abri de la chaleur en fermant volets et fenêtres en journée et ouvrez la nuit pour aérer.
  • Repérez les endroits frais ou climatisés près de chez vous (lieux publics, magasins, cinémas…) pour vous y rendre en cas de forte chaleur.
  • Mangez normalement (fruits et légumes, pain, soupe…).
  • Buvez environ 1,5 l d’eau tout au long de la journée et évitez de consommer de l’alcool.
  • Donnez de vos nouvelles à votre entourage (parents, voisins, gardien(ne) d’immeuble…)
  • Si vous suivez un traitement médical, demandez conseil à votre médecin traitant ou à votre pharmacien.

Le monoxyde de carbone est un gaz toxique qui touche chaque année plus d’un millier de foyers, causant une centaine de décès par an. Il peut être émis par tous les appareils à combustion (chaudière, chauffage d’appoint, poêle, groupe électrogène, cheminée…).

Pour éviter les intoxications, des gestes simples existent :

  • Avant l’hiver, faites vérifier vos installations de chauffage et vos conduits de fumée par un professionnel qualifié.
  • Veillez toute l’année à une bonne aération et ventilation du logement et à une bonne utilisation des appareils à combustion.
  • N’utilisez jamais pour vous chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero, etc.
  • Si vous devez installer des groupes électrogènes, placez-les impérativement à l’extérieur des bâtiments.

Pour en savoir plus : http://inpes.santepubliquefrance.fr/10000/themes/sante_environnement/monoxyde-carbone/precautions.asp

La borréliose de Lyme est une maladie transmise à l’homme par les piqûres de tiques infectées.

Toutes les tiques ne sont pas infectées. La densité et la proportion de tiques infectées, en France, sont très variables, fonction de la zone géographique et de la période de l’année.

En Europe, le vecteur le plus répandu est une tique dure hématophage : Ixodes ricinus. Cette tique vit dans les zones boisées et humides, les herbes hautes des prairies et les parcs forestiers ou urbains.

Les tiques se nourrissent du sang de leurs hôtes à tous les stades de leur développement (larve, nymphe, femelle adulte) et peuvent transmettre d’autres agents pathogènes : virus (encéphalite à tiques), bactéries (Rickettsia, Anaplasma phagocytophilum, Coxiella burnetii) ou parasites (Babesia sp).

 

Piqûres de tiques : prévention et conduite à tenir

La meilleure prévention consiste à se protéger contre les piqûres de tiques lors d’une activité professionnelle ou de loisir de plein air en zone boisée et humide, prairies avec des herbes hautes et parcs : port de vêtements longs, fermés et de couleur claire, et d’un chapeau.

 

La piqûre est indolore et peut passer inaperçue.

Au retour d’activités dans la nature, un examen soigneux de tout le corps en insistant sur les zones habituelles de piqûres (chaudes et moites) – aisselles, creux poplité, région génitale et cuir chevelu – permettra de retirer précocement chaque tique.

En cas de piqûre, retirer la tique le plus rapidement possible et désinfecter ensuite. Surveiller pendant un mois l’apparition éventuelle d’une fébricule, de signes généraux mineurs ou d’un érythème migrant (EM) à l’endroit de la piqûre.

L’apparition d’une petite zone érythémateuse (< 5 cm) autour de la piqûre, immédiatement ou dans les vingt-quatre heures après la piqûre, ne doit pas être confondue avec un EM.

 

Comment retirer une tique ?

  • La méthode de choix est l’utilisation d’un tire-tique (figure A) ou, à défaut, d’une pince (figure B)
  • Désinfection cutanée simple (antiseptique courant ou lavage à l’eau et au savon).
  • Mise à jour des vaccinations en particulier du tétanos.

 

L’antibioprophylaxie systématique après piqûre de tique n’est pas indiquée car la plupart des tiques ne sont pas contaminantes et 95 % des piqûres infectantes aboutissent à une séroconversion sans maladie à cinq ans (seuls 5 % des personnes infectées développeront une infection active)

Pour en savoir plus

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