



• Pour les émetteurs industriels, s’assurer du bon fonctionnement des dispositifs de dépoussiérage.
• Reporter les travaux du sol si celui-ci est sec.
• Maîtriser la température dans les bâtiments en limitant l’utilisation du chauffage.
• Éviter l’utilisation du bois en chauffage individuel d’agrément ou d’appoint.
• Suspendre les éventuelles autorisations dérogatoires à l’interdiction de brûlage de déchets verts (y compris les déchets agricoles) à l’air libre.
• Réduire le fonctionnement des installations fixes dont les émissions contribuent à l’épisode de pollution.

• Réduire la vitesse sur l’ensemble de la région Ile-de-France :
– à 110 km/h sur les portions d’autoroutes normalement limitées à 130 km/h.
– à 90 km/h sur les portions d’autoroutes et de voies rapides normalement limitées à 110 km/h.
– à 70 km/h sur les portions d’autoroutes, de voies rapides normalement limitées à 90 km/h ainsi que sur les routes nationales et départementales limitées à 80 km/h ou à 90 km/h.
• Contourner l’agglomération francilienne en empruntant les axes routiers pour les véhicules en transit dont le poids total en charge excède 3,5 T.
• Utiliser les véhicules peu polluants (électrique, GNL, etc.).
• Différer les déplacements sur l’Ile-de-France.
• Respecter les conseils de conduite apaisée.
• Privilégier le covoiturage (dans le respect des gestes barrières avec notamment le port du masque obligatoire en absence de protection physique séparant le conducteur du passager).
• Emprunter prioritairement les réseaux de transport en commun.
• Privilégier les modes actifs de déplacement (marche, vélo, etc.).
• Utiliser les possibilités mises en place au sein des établissements professionnels afin d’aménager les déplacements domicile-travail (plan de mobilité, télétravail, adaptation des horaires, etc…).